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Demain Nous Appartient

Charlotte Gaccio : “Ma famille de Demain nous appartient m’a reconnue tout de suite !”

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INTERVIEW. La comédienne de “DNA” et “Sam”, fille de Michèle Bernier, a été démasquée ce vendredi 26 mai 2023 sur TF1. Charlotte Gaccio a accepté de répondre aux questions de “Télé 7 Jours”…

Vous êtes aussi heureuse d’être arrivée en demi-finale que déçue d’avoir manqué la finale ?

Évidemment, c’est toujours un peu frustrant de ne pas aller au bout quand on est aux portes de la finale. D’autant plus que tout était déjà prêt pour les chansons de la finale : les chorégraphies, les tableaux… J’avais enregistré American Boy d’Estelle et Tout de Lara Fabian et j’avais envie de montrer ce qu’on avait préparé. Malheureusement, ça ne se fera que dans ma tête ! (Rires) Mais c’était une aventure folle et je suis très contente d’être arrivée en demi-finale.

Vous avez été démasquée le même soir que la diffusion du mariage de votre personnage Audrey dans Demain Nous Appartient, c’est un hasard ?

Ah oui, c’était vraiment le hasard du calendrier ! Je m’en étais rendue compte quand j’ai vu le numéro de l’épisode du mariage. J’ai fait le calcul du nombre de primes de Mask Singer, je me suis dit : “Mais attend, ça va tomber le même jour ! Ça va être dingue !”. (Rires)

Vous étiez l’un des personnages préférés du public, vous en êtes-vous rendue compte pendant la diffusion ?

Non, j’avais plutôt le sentiment de perdre un peu les gens ! (Rires) Mais d’un autre côté, mon nom a beaucoup circulé sur les réseaux sociaux. C’était frustrant de ne pouvoir rien dire. Je n’ai pas eu l’impression d’être plus appréciée que les autres, j’ai vu que les gens aimaient beaucoup ceux qui sont qualifiés pour la finale, d’ailleurs.

Oui, mais le Chameau qui ne fait pas l’unanimité.

Pour le Chameau, les gens aiment la sympathie du costume et son humour. Après, c’est sûr que vocalement, c’était pas au même niveau !

Le chant était votre premier amour, comment se sont passées vos retrouvailles avec le coaching vocal ?

Quand j’étais à l’école de chant, je ne faisais clairement pas partie des plus grandes voix de ma promo. Donc je me sentais parfois un peu… Pas au même niveau que mes camarades, quoi. Là, je me suis sentie plus mise en valeur et en confiance. La coach Alexandra et Pierre et Jean du studio, qui n’avaient pas vu les vidéos de mes cours de chant. Ils se sont laissés surprendre et ont été agréablement surpris de ce que je pouvais faire. Grâce à eux, je me suis sentie portée, ça m’a beaucoup aidée.

La difficulté de votre costume de Méduse, c’était la tête…

Quand on pense Méduse, on pense légèreté, donc quand je l’ai vue… Ils m’ont dit qu’ils avaient prévu une minerve. J’ai dit : “vous éxagérez” ! Mais en fait, si, il y avait vraiment besoin ! Camille (Combal, ndlr) riait pas mal du fait que je bougeais tout le temps, mais c’était une façon de répartir le poids sur mon corps, parce que c’était vraiment lourd à porter sur la tête. J’ai même eu mal au dos le lendemain des répétitions de la première émission. Donc pour les suivantes, j’ai demandé à ne porter que la cagoule, la visière et le sweatshirt pour me cacher des autres sans souffrir.

Comment avez-vous géré le planning de Mask Singer avec ceux des séries Demain nous appartient et Sam ?

C’était un gros dossier… J’ai demandé à ce que mes indisponibilités soient communiquées par la production ou TF1. Car si je dit “Je ne peux pas tourner”, on va me demander des justifications… Et je ne peux pas les donner. (Rires) Donc c’est la chaîne qui disait que j’étais indisponible, que je faisais une émission. Donc je pense que ça les a bien emmerdés à quelques moments ! (Rires) Mais en même temps, peut-être que ça sert la série d’avoir de la visibilité sur une autre émission. Et au bout de quelques semaines dans Mask Singer, j’ai commencé le tournage de Sam, et j’ai pu utiliser cet alibi pour mon absence sur le tournage de DNA. Mais franchement, c’est très difficile de garder le secret de ce genre d’émission.

Vos collègues comédiens ont-ils trouvé cela suspect ?

Non, mais comme j’ai été démasquée hier, il y en a plein qui ont découvert ça aujourd’hui et qui me soutiennent, qui me complimentent. Mais j’avoue que j’avais envoyé ma première prestation à la Famille Roussel après la diffusion, et ils m’ont reconnue tout de suite parce qu’on chante tout le temps ensemble. Ils ont su être discret et ne pas en parler aux autres. Par contre, j’ai reçu des textos de la part de copains qui pariaient sur moi pour la Méduse. Ils connaissaient ma voix, je chante beaucoup. (Rires)

En plus de garder le secret, il y a un protocole pour cacher votre identité lors du tournage : être recouvert de noir, ne pas parler…

Ça, c’est très bizarre, j’ai juste l’impression d’être juste malpolie ! Je ne pouvais pas dire “bonjour” aux gens normalement ! C’est vraiment très étrange.

Quelle a été votre réaction lors des pronostics des enquêteurs ?

Oh, j’ai ri ! Je riais beaucoup sous ma grosse tête de Méduse ! Celui qui m’a fait le plus rire, c’était Laurent Ruquier. Parce que comme c’était un costume qui ne bougeait pas beaucoup – et d’autant plus ce soir-là car j’avais chanté une ballade d’Adèle – il s’est dit : “Si elle ne bouge pas, ça doit être une personne âgée”. Tout n’a pas été gardé au montage, mais il a sorti vraiment beaucoup de noms de personnes beaucoup plus âgées en disant : “En même temps, ça m’étonnerait qu’elle chante comme ça”. Donc j’ai beaucoup ri !

Avez-vous eu des coups de coeur pour d’autres voix ou d’autres costumes dans la compétition ?

En regardant l’émission, j’ai redécouvert la Biche. Je ne l’avais pas entendue chanter depuis longtemps et c’était une belle redécouverte. Je pensais que l’émission était faite pour ceux qui ne sont pas chanteurs et qui veulent montrer qu’ils savent chanter. Mais Mask Singer permet aux chanteurs de faire des choses qu’on ne leur propose jamais de faire, qui s’éloignent de leur univers.

Michèle Bernier n’a pas résisté à dire à Jeff Panacloc qu’elle était grand-mère de jumeaux, ça a joué sur la découverte de votre identité !

Oui, complètement, mais il était déjà sur cette piste. Il est très fort. Il captait les indices et cherchait dans la bonne direction. Par exemple, il pensait à Lorie à cause de l’indice du chiffre 7 (Demain nous appartient se tourne à Sète, ndlr). Comme ils se parlaient après dans la vie de tous les jours avec maman, il a peut-être pu repérer d’autres indices. Je savais qu’il m’avait trouvée, car trois jours avant la demi-finale, il m’a suivi sur Instagram. Il ne lâche pas l’affaire, même en dehors des tournages il continue d’enquêter !

Avez-vous eu envie de l’impressionner pendant vos prestations ?

J’ai vraiment pas pensé à ça. Le regard de ma maman n’est pas un regard qui me stresse ou me fait peur, je savais qu’il serait doux et gentil.

Est-ce que cela vous a donné envie de retrouver des projets musicaux dans votre carrière ?

J’aimerais, oui. J’ai un peu lâché tout ça, je n’écris plus de chansons, je ne suis plus dans cette énergie. Mais effectivement, pourquoi pas rencontrer des auteurs, des compositeurs, et faire quelque chose dans ce sens-là. Et il y a un autre domaine qui m’attire. Lors de la première émission, les enquêteurs disaient : “Avec cette voix, elle a dû doubler un dessin animé”… J’adorerais faire ça, doubler des dessins animés, des Disney, ça fait partie des rêves à cocher dans ma vie !

En attendant, vous mettez en scène PMQ : l’élégance voQale…

En ce moment, on travaille sur une nouvelle version du spectacle, car on va faire des résidences. Les prochaines dates seront en octobre. Et côté comédie, je suis toujours dans Demain nous appartient et la saison 7 de Sam arrive bientôt.

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