Dans Demain nous appartient, Karim ne croit pas en l’innocence d’Angélique tandis que Soraya freine l’élan de Gabriel. De son côté, Marianne perd patience tandis qu’on découvre que Violette est morte.
Vendredi 11 août dans Demain nous appartient… Tandis qu’Adrien Rob (Damien) a publié de chaleureuses photos de vacances, l’inquiétude grandit pour Angélique au chevet de Violette, admise à l’hôpital. La mère de famille explique à sa fille qu’elle doit s’accrocher malgré la situation dramatique, tandis que Sara soutient sa cousine. De leur côté, au commissariat, c’est deux salles, deux ambiances. Tandis que Georges se satisfait de voir l’enquête se boucler, Karim lui semble préoccupé. Selon lui, la femme de Didier ne peut pas ne pas avoir été au courant des agissements de son mari. Il évoque alors avec son collègue la possibilité qu’elle soit complice, voire coupable…
Demain nous appartient : Gabriel stoppé par Soraya
Arrivant au bureau, Gabriel tente de faire rire Soraya, qui n’est pourtant pas d’humeur joviale. Elle explique alors à son collègue qu’elle culpabilise de leur proximité par rapport à Nour. Tandis que le fils de Morgane tente de relativiser le problème, l’avocate est très sérieuse et demande à son collègue de s’en tenir à une relation professionnelle. Vexé, il accepte mais se met au défi de la faire rire avant la fin de la journée, ce qui entraînerait alors un gage pour la jeune femme. Après plusieurs tentatives, il arrive à ses fins après une plaidoirie improvisée, surpris par Raphaëlle. Soraya n’a alors pas le choix que d’accepter la proposition de Gabriel d’aller à la plage avec lui. Malgré le sourire retrouvée et une séduction naissante entre les deux , la jeune femme continue de s’en vouloir vis-à-vis de sa soeur…
Demain nous appartient : Mauvaise nouvelle pour Marianne !
A l’hôpital, Marianne est au téléphone avec Gilles (Laurent Gamelon, qui a expliqué ses a prioris sur Ingrid Chauvin) et la discussion est vive : Sylvain n’est pas arrivé sur le chantier de la maison. Elle interpelle alors Christelle qui n’apprécie pas le ton employé par la médecin. Du côté des travaux, si Alex et Gilles se satisfait de l’avancée des travaux, Sylvain a une mauvaise nouvelle. Toute la plomberie est à changer, ce qui ajoute une dizaine de jours de cohabitation chez Marianne. Le soir venu, Gilles est en train de préparer le dîner et met les petits plats dans les grands. Sa soeur sent l’entourloupe et lui demande ce qu’il se passe. Il finit par avouer qu’il va devoir rester chez eux encore quelques temps. Contrainte par Renaud, elle accepte à condition qu’il arrête de l’appeler “Pépette”. La soirée se finit relativement apaisée autour du délicieux dîner préparer par le chef improvisé.
Demain nous appartient : Emma a été tuée par Angélique, Violette aussi ?
Convoquée au commissariat, Angélique se perd dans ses explications pour expliquer sa méconnaissance des agissements de Didier. C’est à ce moment-là, qu’en flashback, elle se remémore la mort d’Emma. On voit alors le corps de l’adolescente dans une mare de sang, tandis que la mère de Violette tient un chandelier ensanglanté. Son mari arrive alors et prend les choses en main. Malgré les propos vaseux de la femme, Georges et Karim n’ont rien contre elle, et les aveux de Didier risquent bien de clôturer l’affaire. A l’hôpital, alors qu’Angélique a demandé à Roxane et Sara de quitter la maison avant que Violette ne rentre le soir-même, pour qu’elle se repose, cette décision continue de nourrir les suspicions de sa nièce sur sa tante. Elle a du mal à croire qu’elle n’était au courant de rien. Plus tard, Béatrice se réveille à l’hôpital auprès de sa fille. Visiblement paniquée, elle prononce le nom de Violette avant de perdre conscience à nouveau. Enfin, seule à la villa (qui se trouve à 30 kilomètres de Sète), Angélique est dans le jardin avant de s’agenouiller auprès d’un arbre. On la voit nettoyer quelque chose avec sa main. On aperçoit ainsi une pierre tombale où est inscrit “Violette 2006-2009”. Qui est donc l’adolescente vivant avec les Raynaud tandis que la véritable Violette semble décédée depuis longtemps.