Catherine Benguigui (Demain nous appartient) : Ce salaire à cinq chiffres qu’elle touche dans la série de TF1

Ce mardi 10 décembre, Catherine Benguigui était invitée sur le plateau de Chez Jordan, sur C8. Elle a dévoilé combien elle touchait mensuellement pour son rôle dans Demain nous appartient.

Catherine Benguigui (Demain nous appartient) : Ce salaire à cinq chiffres qu’elle touche dans la série de TF1

Un feuilleton à succès qui rapporte. Catherine Benguigui a rejoint en 2020 le casting de Demain nous appartient, la série quotidienne de TF1. Elle y interprète Mona, la mère de Georges (Mayel Elhajaoui). Depuis quatre ans, elle s’amuse donc sur les tournages avec ses collègues, avec qui l’ambiance est assez bonne. Ce mardi 10 décembre, elle était invitée sur le plateau de Chez Jordan, sur C8. Elle est revenue sur son expérience dans Demain nous appartient et a dévoilé combien elle touchait chaque mois pour jouer Mona.

Catherine Benguigui dévoile son salaire dans Demain nous appartient

Jordan De Luxe a demandé à la comédienne si elle était mieux payée pour le feuilleton de TF1 ou lorsqu’elle avait un rôle dans la série humoristique H, dans laquelle elle a aussi joué dans le passé. “C’est pas les mêmes critères parce qu’en fait, H, c’était pas une quotidienne. Demain nous appartient, c’est une quotidienne donc on peut penser qu’on est moins payés, mais en fait, comme on tourne plus, on est mieux payés“, a-t-elle révélé. L’animateur de C8 lui a alors demandé combien elle gagnait pour un mois de tournage. Elle a tout de suite écarté les 30 et 40 000 euros de salaire mais a confié que c’était plus dans les 20 000 euros. “Oui, voilà, et encore !“, a-t-elle assuré. Un salaire assez raisonnable pour un mois de tournage.

Catherine Benguiui revient sur les problèmes en coulisses de Demain nous appartient

L’actrice a également révélé à Jordan de Luxe que certains techniciens travaillant sur le feuilleton avaient été virés après des comportements déplacés. “Il y a des gens qui ont été virés. Pas des comédiens mais des techniciens. Je l’ai appris après. Il y a eu des problèmes, je ne sais pas exactement. J’ai dit : ‘Ah ben tiens, il est plus là machin du son ?’ On m’a répondu : ‘Ben non, parce qu’apparemment il s’est mal comporté”, a-t-elle commencé avant de compléter : “Des attouchements, je ne sais pas. En tout cas il y a eu un comportement qui a fait qu’il n’a pas été reconduit […] C’est bien, parce que je vois pour les jeunes filles à quel point c’est difficile, ce sont quand même des proies faciles“. Des soucis vite réglés par la production.