Demain nous appartient : “Ça a été un choc”, Malik Zidi réagit à son arrivée dans la série de TF1 ce jeudi 15 août 2024

Rencontre avec le comédien césarisé Malik Zidi, qui fait ses premiers pas dans le feuilleton quotidien Demain nous appartient ce jeudi 15 août 2024 sur TF1.

Ce jeudi 15 août, une famille fait son arrivée dans Demain nous appartient : les Feray. Si les fans du feuilleton de TF1 ne les ont encore jamais croisés, ces petits nouveaux sont loin d’être des inconnus pour Alex et Chloé. Michaël, le patriarche de cette tribu, est en effet le cousin de cette dernière. Et, à l’adolescence, ils ont fait les 400 coups. Télé-Loisirs a rencontré son interprète, Malik Zidi. Un comédien tournant habituellement pour le cinéma – il a d’ailleurs été césarisé en 2007 pour le film Les amitiés maléfiques – et sincèrement ravi de rejoindre l’aventure et de se frotter à l’exercice si spécifique du feuilleton quotidien…

Demain nous appartient : “C’est moi qui ai demandé à jouer dans le feuilleton”, Malik Zidi à l’origine de son arrivée dans le feuilleton

Télé-Loisirs : Comment êtes-vous arrivé dans Demain nous appartient ?
Malik Zidi : Cela faisait longtemps que ça me tentait ! Je viens d’un autre univers. J’en avais déjà parlé à des amis il y a quelque temps. J’entendais beaucoup parler des quotidiennes et j’avais envie de m’y essayer. Il s’est avéré que j’ai rencontré Samy Gharbi (l’interprète de Karim dans le feuilleton, ndlr). Il en a touché deux mots aux producteurs Isabelle Regourd et Théophile Clément. Je pense qu’ils ont été un peu surpris au départ de voir apparaître mon nom ! Finalement ils m’ont accueilli et m’ont écrit un rôle magique. Je suis très content d’être là.

Donc l’envie de rejoindre DNA vient de vous ?
Oui, c’est moi qui ai demandé. J’avais envie d’essayer, de choisir cette direction-là. J’ai fait beaucoup, et je continuerai, de longs-métrages, des films d’auteur un peu plus âpres. Comme dans le sport, j’avais envie d’essayer cette discipline-là.

Et comment se passent ces premiers mois dans DNA ?
J’ai commencé le 5 juin et ça a été un choc thermique ! (Il rit) Très positif, évidemment. Je ne savais pas que c’était à ce point sportif. Et surtout quand on ouvre une arche, quand on commence à ouvrir un personnage, une famille, on a quand même beaucoup de séquences au départ et ça va très vite. La vitesse est peut-être ce qui est le plus surprenant. Au cinéma, on a quand même tendance à attendre beaucoup sur le plateau. Là, il n’y a pas d’attente. Tout est carré. C’est une machine incroyable. Je suis émerveillé et impressionné par les techniciens et les acteurs qui travaillent sur les quotidiennes depuis longtemps. Au départ cela a été un peu déroutant pour moi. Mais j’ai pris le pas et maintenant, quand il y a moins de séquences à tourner, cela me manque un peu ! (Il rit)

Demain nous appartient : “C’est assez incroyable”, Malik Zidi dithyrambique sur son expérience dans le feuilleton

C’est grisant ce rythme justement soutenu?
Oui, parce qu’il y a comme une forme de défi à chaque fois. Les séquences s’enchaînent. On travaille en amont avec des répétiteurs pour le texte. Et avant chaque scène, il y a un coach qui fait un débriefe, pour dire où on en est dans l’histoire, là où se trouve le personnage. C’est vraiment génial.

Regardiez-vous Demain nous appartient avant d’y jouer?
Très peu. Mais de manière générale, je regarde très peu de la télévision. Mais j’ai commencé avant de tourner et j’ai été très surpris par la qualité de jeu et la beauté des images et de la réalisation. D’ailleurs à ce propos de cela, on tourne chaque épisode avec plusieurs réalisateurs. Il y a trois plateaux, donc trois réalisateurs en même temps et on peut passer de l’un à l’autre dans la même journée ! C’est assez incroyable et je suis d’autant plus content d’être de la partie.

Parlons de votre personnage, Michaël Feray, qui fait son apparition pour la première fois ce jeudi 15 août…
Michaël est le cousin de Chloé. Il revient à Sète parce que sa femme Albane (jouée par Charlotte Boimare, qui avait également joué Adriana dans Plus belle la vie, ndlr) hérite de l’hôtel familial, là où, plus jeunes, ils faisaient les 400 coups. Quand on débarque à Sète, on accueille la famille Delcourt qui a de gros problèmes avec sa maison. À partir de là, il va se passer des choses dans cet hôtel. Des souvenirs du passé vont remonter. Il va y avoir beaucoup de suspense, d’intrigues. C’est très intense. Ce qui me plaît aussi, c’est que cet hôtel un vrai personnage, avec des choses à nous dire…