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Demain Nous Appartient

Demain nous appartient : “Je me suis battu mais…” cette demande de Kamel Belghazi (William) refusée par la production

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Déprogrammé pendant la Coupe du monde de football, Demain nous appartient revient enfin sur TF1 ce lundi 19 décembre. Pour l’occasion, Kamel Belghazi, l’interprète du Dr William Daunier, s’est confié à NetPrince TV…

JULIE DEBAZAC KAMEL BELGHAZI

L’attente aura été longue, mais c’est enfin terminé ! Ce lundi 19 décembre, Demain nous appartient fait son grand retour sur TF1 après plusieurs semaines d’absence pour cause de Coupe du monde. À cette occasion, Kamel Belghazi – qui a récemment évoqué sa vie privée – est revenu sur l’épisode marquant du 18 novembre dernier, mais également sur la suite, auprès de NetPrince TV sur ce feuilleton qui a changé sa vie… Confidences d’un épicurien.

“Je puise davantage dans ma vie personnelle pour alimenter mon personnage que l’inverse”
NetPrince TV : Dans l’épisode diffusé le 18 novembre dernier, William fait une chute vertigineuse – qui d’ailleurs a fait peur aux autres acteurs… J’imagine que vous n’avez pas joué les cascadeurs ?

Kamel Belghazi : Je ne vous permets pas de dire ça ! [Il rit.] Je me suis battu pour faire cette cascade, mais la production a refusé pour des raisons d’assurances. Quand j’ai vu la mise en situation, j’ai compris… Ce n’est donc pas moi qui aie fait cette chute. Au risque de décevoir mon public féminin, je ne suis pas le nouveau Belmondo.

Qu’avez-vous pensé de cette intrigue en mode Cluedo ?

J’ai adoré ! C’est la première fois que nous étions quasiment tous réunis. J’aime les tournages nocturnes, qui sont propices à la discussion, au lâcher-prise, à la détente, aux rencontres…

William et Aurore s’interrogent sur le temps qui passe, leur sexualité, l’éducation de leurs enfants… Ces questionnements font-ils écho à votre vie personnelle ?

Je puise davantage dans ma vie personnelle pour alimenter mon personnage que l’inverse. J’ai deux filles, Mila et Sofia, qui ont 11 et 6 ans. Je vois le début de l’adolescence chez la grande et ça me rappelle des situations que j’ai vécues avec Emma Smet et Louvia Bachelier [ses filles dans le feuilleton, ndlr]. Parfois, je me projette. Ça ne veut pas dire que je suis prêt, seulement vigilant !

“Avec Julie Debazac, on arrive à se comprendre sans avoir besoin de parler”
Quel adolescent étiez-vous ?

J’étais très turbulent. [Il rit]. Je suis un éternel adolescent. J’adore rire et m’amuser. Je joue encore à cache-cache avec des copains, je m’amuse à leur faire peur dans les escaliers, je pique leurs selles de vélo… Heureusement pour mes partenaires, je n’ai pas le temps sur la quotidienne.

Quel bilan tirez-vous de ces années passées sur Demain nous appartient ?

J’aime construire mon personnage dans la durée, le voir grandir et l’affiner au fil du temps. Avec Julie [Debazac, ndlr], la complicité est telle que les mots sont devenus accessoires. On arrive à se comprendre sans avoir besoin de parler.

Justement, comment définiriez-vous la relation que vous avez nouée avec votre femme de fiction, Julie Debazac ?

Elle est ma plus longue partenaire sur un tournage. On a construit notre famille de fiction ensemble. Cela a été le fruit de longues discussions sur la vie, les relations personnelles, l’amitié, le métier… qui font qu’on a construit un lien indéfectible. Même si le rythme de travail laisse peu de temps pour se voir à l’extérieur, notre lien reste fort.

Retrouvez “Demain nous appartient” du lundi au vendredi sur NetPrince TV.

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