Ici tout commence en avance : Constance responsable de la mort de Marta selon Joachim, il s’en prend aussi à Clotilde ! Le résumé de l’épisode 1083 du lundi 6 janvier 2024

“C’est de ta faute si elle est morte !” Les terribles accusations de Joaquim contre Constance, qu’il rend responsable du décès soudain de Marta. Pourquoi s’en prend-il ainsi à son amie ? C’est à découvrir dans l’épisode d’Ici tout commence du lundi 6 janvier.

Dans l’épisode d’Ici tout commence du lundi 6 janvier… Pour profiter de chaque moment de la vie, qui peut basculer du jour au lendemain, Solal propose à Zoé d’aller au cinéma. Maya le charrie gentiment : “La chance, un cinoche ! Mais toi t’es un fou Solal, un déglingo !” Comprenant la moquerie, il va réfléchir avec Zoé à quelque chose de moins convenu. Quand chacun arrive avec une proposition, Maya propose de les départager en tirant au sort. Une nuit dans la villa du père de Solal ou une nuit sous une tente… Maya force un peu le destin et envoie ses amis passer une nuit à la belle étoile.

Ici tout commence en avance : Joaquim s’en prend à Clotilde

A l’Institut, tout le monde est encore sous le choc de la mort soudaine de Marta. Joaquim dirige sa colère contre Clotilde. “C’est pour passer du temps avec toi que je n’étais pas avec ma sœur. Comme d’habitude, je m’adapte à toi. Et voilà ce que cela m’a coûté”, balance-t-il à son épouse avant de s’en aller. La cheffe Armand s’en veut et culpabilise à son tour.
Du côté des élèves, Lionel aurait aimé se rendre aux funérailles de Marta mais il ne se sentait pas légitime. Un sentiment partagé par Anaïs. Hortense propose alors d’organiser “une cérémonie pour les gens de l’Institut qui ne se sentaient pas d’aller à l’enterrement“. Elle se charge de voir ça avec Teyssier pendant que les autres réfléchissent à leurs souvenirs partagés avec Marta.

Ici tout commence en avance : Marta envoie un dernier message à Anaïs

Avant d’accepter, Teyssier demande l’autorisation d’organiser une cérémonie en petit comité en hommage pour Marta à Joachim, surpris que sa sœur ait des amis à l’Institut. S’il n’y voit pas d’inconvénient, il ne sait en revanche pas s’il s’y rendra. Teyssier est alors rejoint par Constance qui semble vouloir lui confesser quelque chose. Manque de bol, Emmanuel a d’autres choses plus urgentes à gérer et ne lui prête pas attention.
Hortense a décidé que les petits mots de ses camarades seront accrochés à des ballons qu’ils laisseront s’envoler. Anaïs n’arrive pas écrire son son message : “Vu notre passif […] je ne pense pas qu’elle ait très envie que je participe à son hommage.” Mehdi et ses amis parviennent à lui rappeler un bon souvenir du temps où elles partageaient la même chambre. Lionel, lui, se souvient la fois où Marta l’avait battu au bras de fer. Contre toute attente, Hortense ne veut rien écrire par loyauté envers Célia, à qui Marta a fait beaucoup de mal.
Pendant la cérémonie, Enzo prend la parole pour évoquer son premier souvenir avec Marta qui remonte à leur concours d’entrée à l’Institut. Il est suivi par Teyssier, qui dit quelques mots puis c’est le moment du lâcher de ballons. A peine envolé, celui d’Anaïs explose et son petit mot atterrit a ses pieds. “Elle est rancunière, Marta !”, plaisante Lionel.

Ici tout commence en avance : Gaspard accuse le fantôme de Marta de tous les maux de l’Institut

L’atmosphère est toujours très tendue entre Léo et Gaspard. Celui-ci n’est pas responsable des affaires de Léo qui disparaissent et met ça sur le compte… du fantôme de Marta, dont ils occupent peut-être la chambre… Pendant le cours de la cheffe Guinot, les élèves évoquent l’incident du ballon d’Anaïs qui a explosé. Gaspard remet ça sur le dos du “fantôme de la morte”. Une plaisanterie qui ne passe évidemment pas auprès des autres élèves.

Ici tout commence en avance : Joaquim accuse Constance de la mort de Marta

Sur le parking de l’Institut, Joaquim fonce sur Constance. Il est passablement énervé après avoir trouvé une ordonnance pour Marta venant de l’infirmière. Celle-ci l’a vue quand elle était à Paris avec Charlène. Marta se plaignait “de maux de tête et légers vertiges”. “Et de troubles de la vision”, souligne Joaquim. Constance a conseillé à Marta d’aller voir son médecin. Sauf qu’elle ne l’a jamais fait, s’emporte Joaquim. Ces symptômes “étaient les signes avant-coureur de sa rupture d’anévrisme”, lui dit-il, hors de lui en brandissant l’ordonnance. Constance tente de se justifier, et reconnaît avoir pensé à un surmenage parce qu’à son âge “c’est vraiment très, très peu probable une rupture d’anévrisme”. Il lui reproche de ne pas avoir pris de ses nouvelles de sa sœur ni même de lui en avoir parlé. Constance met alors en avant le secret médical et reconnaît qu’elle pensait que ce n’était pas grave. “Si tu avais fait correctement ton putain de boulot, et si tu t’étais souciée un minimum de ma sœur, peut-être qu’on aurait pu lui sauver la vie. C’est de ta faute si elle est morte !”